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Du nouveau en salle 5




Un tableau du peintre Maximilien Luce (1858-1941) et une esquisse de l’artiste contemporaine Nadège Dauvergne ont rejoint temporairement la salle 5 : Les métamorphoses de l'idéal féminin.


Les deux artistes ont utilisé la même technique picturale, le divisionnisme. Mise au point par le peintre Georges Seurat, elle consiste à juxtaposer des traits ou des points de couleurs pures, c’est-à-dire non mélangées – par exemple du blanc, du jaune ou du bleu. Le mélange est optique : les demi-teintes se forment dans l’œil du spectateur.

Timelapse © Samia Malki
Nadège Dauvergne, Esquisse pour Volubilis, 2024, marqueur à encre couvrante et crayon sur papier
Nadège Dauvergne, Esquisse pour Volubilis, 2024, marqueur à encre couvrante et crayon sur papier
Maximilien Luce, Hameau de Moulineux ; Le village de Moulineux, Seine-et-Oise, 1904, huile sur toile, dépôt du Centre national des arts plastiques en 1906
Maximilien Luce, Hameau de Moulineux ; Le village de Moulineux, Seine-et-Oise, 1904, huile sur toile, dépôt du Centre national des arts plastiques en 1906
Alfred Boucher, Volubiliss, vers 1897, marbre,
Alfred Boucher, Volubiliss, vers 1897, marbre, © Galerie Bowman Sculpture, Londres
Vue d'exposition
Vue d'exposition © Samia Malki

L’esquisse de Nadège Dauvergne est exposée aux côtés de la sculpture dont elle est inspirée : Volubilis  d’Alfred Boucher. Ce grand marbre est le sujet de la peinture monumentale “divisionniste” que l’artiste a réalisée (du 3 au 9 juin 2024) sur la façade de l’ancienne galerie de sculpture du musée, située rue du Gué de la Loge à Nogent-sur-Seine.

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